Théorie du don : ses dangers (1)

Lu récemment au sujet d’un article sur les travaux d’Albert Bandura :

« Si l’on considère la capacité intellectuelle comme une aptitude innée, « toute tâche comportant un enjeu de réussite ou d’échec est perçue comme une menace. La mauvaise performance est interprétée comme étant la preuve que l’on n’est pas intelligent.  » On privilégie alors les activités que l’on maitrise déjà, l’on renonce aux occasions de s’approprier de nouveaux savoirs et de nouvelles compétences. »

Encore une pièce à verser contre la théorie du don…

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