Dans Comprendre et imaginer, Antoine de La Garanderie (1987) écrit (p.96) :
« Si le sujet connaissant a pris l’habitude de se redonner fidèlement ce qui lui est présenté en perception, sans jamais y mettre quelque chose venant de lui, nous dirons qu’il évoque en troisième personne ;
en revanche,
s’il utilise des mots, des phrases, des images « à lui » pour se redonner ce qui lui est présenté en perception, nous dirons qu’il évoque en première personne. »
p.99 : force et faiblesse d’évoquer en 1ère et 3ème dans un sport comme le tennis