En grammaire, nous distinguons la nature et la fonction. Une des utilités est d’être serein, d’accéder à la quiescence. Comment ?
Cela permet de distinguer l’intérieur de l’extérieur.
Je choisis l’intérieur, qui est ma nature. Ma nature est inaltérable. Je m’adapte à l’extérieur, c’est ma fonction.
Quelle est la limite ? Les « choses » n’existent pas car ce sont des concepts (approche-concept). La nature (d’un mot, d’une chose, d’un être…) pour être fixe n’est pas figée pour autant. La raison profonde en est l’absence d’unité dans l’être, d’où la nécessité d’unifier les trois instances pour augmenter la capacité de choix : ne plus être l’esclave de son corps, de son cœur, de son cerveau.