C’est l’histoire d’un garçon de 11 ans qui évoque d’abord en 3ème personne. C’est-à-dire que sur du vu il évoque visuellement et sur de l’entendu il évoque auditivement. Avec une préférence pour le vu. Quel sens à cette 3ème personne ?… Celui d’être le témoin du monde. Ce qui fait que du coup, il oublie de revenir sur la perception… pour vérifier son évocation. Il fait partie de ceux pour qui l’évocation est comme une plaque photographique : il augmente le temps d’exposition mais ne peut pas prendre une seconde photo.
Et pour passer au pôle « acteur » ?… Eh bien il évoque verbalement.
S’il veut juste être attentif, les évocations visuelles ou auditives suffisent. Et s’il veut mémoriser, les évocations verbales viendront les compléter.