Balzac

Quand le savoir n’intéresse pas

Le monde est bien sot, bien aveugle, bien ignorant ; il ne pénètre que les secrets qui l’amusent, qui servent sa méchanceté ; les choses les plus grandes, les plus nobles, il se met la main sur les yeux pour ne pas les voir. Balzac (1839), Les secrets de la Princesse de Cadignan, Le livre […]

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De l’habitude à la complaisance

« On s’habitue à voir faire le mal, à le laisser passer ; on commence par l’approuver, on finit par le commettre. À la longue, l’âme, sans cesse maculée par de honteuses et continuelles transactions, s’amoindrit, le ressort des pensées nobles se rouille, les gonds de la banalité s’usent et tournent d’eux-mêmes. » Balzac (1838),

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