En France, en ce moment, l’avenir de nos enfants se joue dans les négociations sur la formation.
Pourquoi ?
Actuellement, un enseignant, comme tout autre travailleur, ne peut pas choisir les formations qu’il souhaite. Même si comme tout travailleur une partie de son salaire est mis de côté pour ces formations. Et même si ces formations sont nécessaires, comme celle que nous proposons.
Avec la refonte actuelle de la formation proposée par le gouvernement, chaque salarié aurait enfin à sa disposition son budget formation, et choisirait celles qui lui sont utiles.
Nous ne pouvons qu’approuver cette démarche. Nous savons depuis des années que nos formations sont efficaces.
Les équipes pédagogiques qui se forment chez nous obtiennent des résultats éclatants, comme celle du projet PARI, qui reçoit par exemple le prix de l’innovation pédagogique un an après le lancement du projet.
Les enseignants qui suivent notre parcours de formation font réussir leurs élèves, sont reconnus comme exemplaires par les parents, et encouragés par leur hiérarchie.
Même efficacité observée chez les orthophonistes.
Quant aux parents, le sourire retrouvé de leurs enfants les invite à nous soutenir depuis 20 ans… surtout quand les notes augmentent en même temps !
Si les formations étaient vraiment libres et jugées sur leur efficacité, nous aurions remplacé les organismes qui forment les enseignants avec l’échec que nous connaissons : 11 % d’analphabètes à la fin du primaire, 20 % d’illettrés ou d’analphabètes à la fin du collège…
Sans compter l’explosion des troubles dys face auxquels l’école est démunie, alors que nos protocoles d’accompagnement marchent…
Une liberté dans la formation permettrait ainsi à tout enseignant qui le souhaite de suivre nos formations. Et plus d’attendre un jour ou deux consentis par sa hiérarchie…
Tout salarié pourrait aussi apprendre à être plus efficace tout en respectant ses valeurs personnelles.
Entre des parents qui retrouvent un confort et des enseignants efficaces, notre société pourrait enfin accompagner tous les enfants vers leur épanouissement.
Nous, on y croit. 😉