Balayer les entrées : exemple du comment faire

Pour balayer les entrées, solliciter chaque porte ou paramètre : P1, P2, P3, P4, voici des exemples d’entrée.

Pour l’entrée 1 : proposer une situation réelle, rechercher dans le vécu, présenter quelque chose qui doit être multi sensoriel, de concret, en 3D.

Pour l’entrée 2 : on sollicite du par cœur simple, donc une définition simple. Un dessin.

Une photo (de l’objet), un fac-similé, une maquette relève de l’entrée 2 même si on n’est très proche de l’entrée 1.

Pour l’entrée 3 qui sollicite un lien logique : le contraire de (différence), ça ressemble à, c’est pareil à, c’est comme (similitude), ça fait partie de (inclusion), un schéma. Une étymologie. Quelle est l’origine, quelle est la destination.

Une définition opératoire relève à la fois de l’entrée 2 et de l’entrée 3.

Pour l’entrée 4 : proposer une métaphore, une histoire, un mythe, une figure de style, une expression, un prolongement, un développement.

Les jeux de mots peuvent relever à la fois de l’entrée 3 et de l’entrée 4 selon leur nature.

Il y a des perceptions qui sollicitent plusieurs paramètres : elles relèvent de différentes entrées à la fois. Ce ne sont pas forcément les plus simples à évoquer.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Retour en haut