Face à un cours trop pauvre, nous pouvons toujours l’enrichir avec la force de notre pensée.
Nous pouvons toujours imaginer : P1 – dans quelle situation concrète rencontre-t-on ce que j’apprends ? Où ? Quand ? Dans quelles circonstances ? Quelles sont les personnes qui s’en servent dans leur vie ? Quels sont les choses qu’on a fabriquées avec ça ? Ou les choses qui utilisent cette connaissance ? Comment cela peut-il m’aider à comprendre le monde ?
P2 – Quelle est la définition exacte de ce truc là ? Quelle loi s’applique ici ?
P3 – D’où ça vient ? À quoi ça sert ? Quelle question peut-on me poser ? Quel exercice puis-je résoudre avec ça ? À quoi ça ressemble ? Et à quoi ça ne ressemble pas ? Ça se transforme comment ?
P4 – Quelle blague pourrait-on faire avec ça ? Quel jeu ? Quel dessin humoristique ?
Et ce n’est qu’un début…