français

Genre… ou comment influencer l’autre

Un des quatre projets du langage (que j’ai identifié) est celui d’influencer l’autre. Savoir comment influencer l’autre, le suggestionner, est un des projets du français au lycée : comment ce texte nous invite à penser ça (plutôt qu’autre chose). Nous retrouvons ainsi les genres littéraires (les sept principaux : épique, dramatique, lyrique, didactique, oratoire, critique, […]

Genre… ou comment influencer l’autre Lire la suite »

À gauche de…

– Vous écrirez votre nom à gauche de la feuille. Toto, pourquoi écrivez-vous sur la table ?!… – Mais vous avez dit d’écrire à gauche de la feuille ! (eh oui, en français, « de » signifie l’appartenance ou la provenance et bien d’autres choses encore… c’est donc un mot délicat…) (point traité lors de la formation

À gauche de… Lire la suite »

Mystère autour des consonnes doubles

– J’ai du mal à savoir s’il faut un t ou deux dans certains mots. – Dans des noms ou dans des verbes ?… Si c’est dans des noms, comme dans chouette, nous devons travailler le geste de mémorisation. Si c’est dans des verbes, comme pour jette, nous devons travailler le geste de réflexion. –

Mystère autour des consonnes doubles Lire la suite »

Analyser un texte (en français…) : des pistes

ANALYSE FORMELLE D’un point de vue formel, l’analyse d’un texte peut suivre 4 directions : 1 – le type de texte  : narratif, descriptif, explicatif, injonctif, argumentatif. (http://www.site-magister.com/typtxt1.htm)C’est l’intention (le projet) et la structure du texte. Prolongement possible : le genre littéraire du texte (notion plus floue) : lyrique, dramatique, rhétorique, autobiographique, comique, didactique, épique, épistolaire,

Analyser un texte (en français…) : des pistes Lire la suite »

De l’habitude à la complaisance

« On s’habitue à voir faire le mal, à le laisser passer ; on commence par l’approuver, on finit par le commettre. À la longue, l’âme, sans cesse maculée par de honteuses et continuelles transactions, s’amoindrit, le ressort des pensées nobles se rouille, les gonds de la banalité s’usent et tournent d’eux-mêmes. » Balzac (1838),

De l’habitude à la complaisance Lire la suite »

Retour en haut